Bibliothèques Grand Séminaire St Gall de Ouidah
Résultat de la recherche
2 recherche sur le mot-clé 'Journaux intimes'
Affiner la recherche Générer le flux rss de la recherche
Partager le résultat de cette recherche
Carnets du pasteur Boegner / Marc Boegner
Titre : Carnets du pasteur Boegner : 1940-1945 Type de document : texte imprimé Auteurs : Marc Boegner (1881-1970), Auteur ; Philippe Boegner (1910-1991), Éditeur scientifique Editeur : [Paris] : Fayard Année de publication : 1992 Collection : Pour une histoire du XXe siècle Importance : 365 p. Présentation : couv. ill. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-213-02866-8 Prix : 145 F Note générale : Index Langues : Français (fre) Mots-clés : Boegner Journaux intimes Index. décimale : 922.4 Résumé : C'est un document exceptionnel qui est ici livré au public et aux historiens. Totalement inédits à ce jour, les Carnets tenus de 1940 à 1945 par le pasteur Marc Boegner, l'une des plus hautes et des plus respectées autorités spirituelles du pays, apportent en effet des informations nouvelles et un témoignage de première main sur la France de la défaite et de Vichy. Grâce à ses fonctions à la tête de la Fédération protestante de France et aux liens qu'elles impliquent avec les Eglises et communautés protestantes du monde entier, le pasteur dispose d'un accès direct aux plus hautes autorités de l'Etat: à de multiples reprises, il est reçu par Pétain, par Laval, par Darlan (qu'il a de surcroît connu autrefois à l'Ecole navale...), par Pucheu, bref par tous les hiérarques de Vichy auprès desquels il proteste inlassablement et énergiquement contre les mesures antisémites (il se solidarise publiquement avec le grand rabbin de France), contre les camps où l'on a interné les réfugiés politiques étrangers, contre la répression de plus en plus dure à laquelle se livre le régime, contre les facilités accordées à l'Axe en Tunisie et ailleurs. Il recueille également une grande quantité de renseignements sur l'état d'esprit de la population. Il accumule, au cours de ses incessants déplacements pour rencontrer les protestants dispersés sur le territoire (et parmi eux les Alsaciens repliés), une foule de petits faits vrais qui dépeignent admirablement l'atmosphère de la France occupée. Ecrits au jour le jour, à chaud et jamais retouchés, les Carnets sont présentés par le fils du pasteur, Philippe Boegner, grand journaliste récemment disparu. Carnets du pasteur Boegner : 1940-1945 [texte imprimé] / Marc Boegner (1881-1970), Auteur ; Philippe Boegner (1910-1991), Éditeur scientifique . - [Paris] : Fayard, 1992 . - 365 p. : couv. ill. ; 24 cm. - (Pour une histoire du XXe siècle) .
ISBN : 978-2-213-02866-8 : 145 F
Index
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Boegner Journaux intimes Index. décimale : 922.4 Résumé : C'est un document exceptionnel qui est ici livré au public et aux historiens. Totalement inédits à ce jour, les Carnets tenus de 1940 à 1945 par le pasteur Marc Boegner, l'une des plus hautes et des plus respectées autorités spirituelles du pays, apportent en effet des informations nouvelles et un témoignage de première main sur la France de la défaite et de Vichy. Grâce à ses fonctions à la tête de la Fédération protestante de France et aux liens qu'elles impliquent avec les Eglises et communautés protestantes du monde entier, le pasteur dispose d'un accès direct aux plus hautes autorités de l'Etat: à de multiples reprises, il est reçu par Pétain, par Laval, par Darlan (qu'il a de surcroît connu autrefois à l'Ecole navale...), par Pucheu, bref par tous les hiérarques de Vichy auprès desquels il proteste inlassablement et énergiquement contre les mesures antisémites (il se solidarise publiquement avec le grand rabbin de France), contre les camps où l'on a interné les réfugiés politiques étrangers, contre la répression de plus en plus dure à laquelle se livre le régime, contre les facilités accordées à l'Axe en Tunisie et ailleurs. Il recueille également une grande quantité de renseignements sur l'état d'esprit de la population. Il accumule, au cours de ses incessants déplacements pour rencontrer les protestants dispersés sur le territoire (et parmi eux les Alsaciens repliés), une foule de petits faits vrais qui dépeignent admirablement l'atmosphère de la France occupée. Ecrits au jour le jour, à chaud et jamais retouchés, les Carnets sont présentés par le fils du pasteur, Philippe Boegner, grand journaliste récemment disparu. Réservation
Réserver ce document
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité Etagère 77 922.4 BOE Livre Salle 5 Ancienne Bibliothèque S5R7 Prêt possible
DisponibleS5R7a Journal / Theodor Herzl
Titre : Journal : 1895-1904 ; le fondateur du sionisme parle Type de document : texte imprimé Auteurs : Theodor Herzl (1860-1904), Auteur ; Roger Errera, Éditeur scientifique ; Paul Kessler, Traducteur ; Catherine Nicault, Préfacier, etc. Editeur : Paris : Calmann-Lévy Année de publication : 1990 Collection : Diaspora, ISSN 0768-3235 Importance : 414 p. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7021-1862-7 Prix : 160 F Note générale : Index Langues : Français (fre) Mots-clés : Herzl Journaux intimes Sionisme Sources 1870-1914 Résumé : Septembre 1897. Le premier congrès sioniste s'achève. Herzl note dans son Journal : Si je veux résumer le congrès de Bâle d'un mot - que je me garderai de prononcer en public - je dirai ceci : à Bâle j'ai fondé l'Etat juif. Si je disais cela aujourd'hui à haute voix, je déclencherais un rire universel. D'ici cinq ans peut-être, cinquante ans sûrement, chacun le comprendra. Son manifeste, l'Etat juif , publié en 1896, décrit en détail son programme et son plan : un Etat juif, en Palestine ou ailleurs. De 1895 à 1904, Herzl parcourt l'Europe à la recherche de soutiens politiques et financiers : celui de la Turquie, de l'Allemagne, de l'Angleterre, de la Russie. Le voici courant de Paris à Londres, de Vienne à Constantinople, de Saint-Petersbourg à Rome et à Jérusalem. Il rencontre des souverains comme Guillaume II, le sultan Abd Ul Hamid, Victor-Emmanuel III, roi d'Italie, le pape Pie X ; des hommes politiques comme Bülow et Joseph Chamberlain ; des financiers et philanthropes juifs comme Maurice de Hirsch et Edmond de Rothschild, des notables religieux comme le grand rabbin Zadoc Kahn à Paris. Herzl dresse de l'Europe, en cette fin de siècle, un portrait haut en couleurs, où le jugement de l'homme politique se double du talent d'observation du journaliste. Il ne décrit pas que les grands de ce monde : à Londres, dans l'East End, à Sofia et à Vilna, face aux foules qui l'acclament comme un sauveur, il prend la mesure des masses juives et de leur attente. Il restitue aussi le climat fiévreux et passionné des premiers congrès sionistes et les débuts du mouvement. La forte personnalité de Theodor Herzl domine ce texte : visionnaire et homme de son temps, meneur d'hommes, observateur aigu des individus et du pouvoir, se consacrant tout entier à sa mission historique, il est conscient de la faiblesse de ses moyens comme de la grandeur de sa tâche. Lorsqu'il meurt en 1904, rien n'est acquis. Mais un mouvement existe, un élan est donné, une espérance suscitée, l'adhésion et l'action des militants et des responsables confirmées. Ainsi sont posées les fondations de ce qui deviendra plus tard, avec l'appui décisif des grandes puissances, le Foyer national juif, puis l'Etat d'Israël. Journal : 1895-1904 ; le fondateur du sionisme parle [texte imprimé] / Theodor Herzl (1860-1904), Auteur ; Roger Errera, Éditeur scientifique ; Paul Kessler, Traducteur ; Catherine Nicault, Préfacier, etc. . - Paris : Calmann-Lévy, 1990 . - 414 p. ; 21 cm. - (Diaspora, ISSN 0768-3235) .
ISBN : 978-2-7021-1862-7 : 160 F
Index
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Herzl Journaux intimes Sionisme Sources 1870-1914 Résumé : Septembre 1897. Le premier congrès sioniste s'achève. Herzl note dans son Journal : Si je veux résumer le congrès de Bâle d'un mot - que je me garderai de prononcer en public - je dirai ceci : à Bâle j'ai fondé l'Etat juif. Si je disais cela aujourd'hui à haute voix, je déclencherais un rire universel. D'ici cinq ans peut-être, cinquante ans sûrement, chacun le comprendra. Son manifeste, l'Etat juif , publié en 1896, décrit en détail son programme et son plan : un Etat juif, en Palestine ou ailleurs. De 1895 à 1904, Herzl parcourt l'Europe à la recherche de soutiens politiques et financiers : celui de la Turquie, de l'Allemagne, de l'Angleterre, de la Russie. Le voici courant de Paris à Londres, de Vienne à Constantinople, de Saint-Petersbourg à Rome et à Jérusalem. Il rencontre des souverains comme Guillaume II, le sultan Abd Ul Hamid, Victor-Emmanuel III, roi d'Italie, le pape Pie X ; des hommes politiques comme Bülow et Joseph Chamberlain ; des financiers et philanthropes juifs comme Maurice de Hirsch et Edmond de Rothschild, des notables religieux comme le grand rabbin Zadoc Kahn à Paris. Herzl dresse de l'Europe, en cette fin de siècle, un portrait haut en couleurs, où le jugement de l'homme politique se double du talent d'observation du journaliste. Il ne décrit pas que les grands de ce monde : à Londres, dans l'East End, à Sofia et à Vilna, face aux foules qui l'acclament comme un sauveur, il prend la mesure des masses juives et de leur attente. Il restitue aussi le climat fiévreux et passionné des premiers congrès sionistes et les débuts du mouvement. La forte personnalité de Theodor Herzl domine ce texte : visionnaire et homme de son temps, meneur d'hommes, observateur aigu des individus et du pouvoir, se consacrant tout entier à sa mission historique, il est conscient de la faiblesse de ses moyens comme de la grandeur de sa tâche. Lorsqu'il meurt en 1904, rien n'est acquis. Mais un mouvement existe, un élan est donné, une espérance suscitée, l'adhésion et l'action des militants et des responsables confirmées. Ainsi sont posées les fondations de ce qui deviendra plus tard, avec l'appui décisif des grandes puissances, le Foyer national juif, puis l'Etat d'Israël. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire